Alerte à l'ennemi

Des éclaireurs arrivèrent en galopant. Et les portes s'ouvrirent, ils racontèrent leur aventure, et tout se déroula très rapidement, des gardes dans les tours sonnèrent les cloches, et d'autres gardes s'organisaient, des archers commençaient à préparer leur flèches, bien que le nombre des adversaires soient minimales, il fallait tout de même prendre des précautions, car il y avait de la puissante magie.
Une vingtaine d'hommes sortirent de la cité fortifiée, et s'engouffra dans la forêt, dirigée par un chevalier en chef.

La cité était presque vide, tout le monde était rentré chez soi, et les Tareniens étaient prêts à accueillir les ennemis comme il se doit.

hooper était dans vile et entendu un garde parler des ennemis avec de la magie

'des ennemis avec de la magie !! "

le demi-elfe avais eu une idée et sortir rapidement des mur. il avait mi d'une cape verte pour pas se faire repérer dans la foret

Rekkar rejoignit rapidement les soldats Tareniens.

Rekio qui était allé dormir dans une auberge comme lui avait conseillé Alphonse entendit l'alerte et se préparais à se battre même si il ne faisait pas partie de l'armée.

Il se faisait assez tard, Alramir venait de terminer son boulot. On lui avait encore ajouter une pile de dossier à lire et à remplir, tout ce boulot devenait harassant il avait donc décider de passer un peu de temps à l'auberge avant de rentrer. Sauf que quelque chose clochait dans la ville, les rues étaient vide, les seuls bruits qu'on entendait était ceux que faisaient les soldats patrouillant dans la ville. Alramir inquiet arrêta l'une d'elle il tenait a savoir ce qui ce passait.
Le soldat lui expliqua qu'un ennemi en petit nombre attaquait la cité, qu'elle était mise en état de siège etc...Mais qu'un groupe de soldat était partit aux combats dans l'espérance de réduire rapidement cette menace aux silences.
Alramir fixa le soldat il était étonné mais pas autant que ce dernier après tout l'Officier aurait du savoir ça. Un dossier ou même un message avait du lui parvenir.Il se décida d'aller chercher se dossier et dans l'hypothèse qu'il ne l'ai jamais reçu d'aller voir le général et de lui demander ce qu'il devait faire.

Nemésis qui était dans les eclos en train de s'occuper des Sarlacs eut vent de l'alerte. Il passait desormais plus de temps en ville au vu de tout ce qu'il devait faire pour les Sarlacs. Il se redressa et equipa son Sarlac de sa selle legere. Il prit son carquoie, son arc, sa rapiere ainsi que toute les herbes differentes qui pourrait lui être utile. Si l'enemis venait a arriver, il entamerait son premier vrai combat a dos de Sarlac.

Une fois arrivé devant la porte, Alramir demanda un bilan immédiat sur la situation. Les nouvelles étaient confuse on ne percevaient qu'un vague rumeur de ce qui ce passait. Aucun éclaireur n'était revenu de la forêt depuis l'envoie des troupes. Alramir pris l'un des escaliers qui menaient aux remparts, une fois sur la muraille il se dirigea d'un pas ferme au dessus de la porte il voulait savoir ce qu'il se passait. Mais rien si ce n'est l'attente. Les soldats étaient crispés, le regard perdu vers le lointain. La forêt n'était plus qu'un point sombre dans l'obscurité ambiante, un point sombre et menaçant d'où pouvait sortir l'ennemi ou montrer les troupes tareniennes victorieuses.