Arrivé d'un messager

Alors que le soleil était a son zénith un cavalier arriva devant la porte de la cité. Il portait sur ses épaules un grande cape verte, a sa selle était accroché une sacoche contenant le précieux parchemin qu'il devait apporter au Roi de Tarenia. A quelque mètre de la porte il descendit de cheval et se dirigea vers un garde.

Bonjour à vous noble garde, je voudrais parler à votre roi ou tout du moins à la personne la plus important à laquelle je puisse m'adresser.

Un elfe qui venait de sortir de la forêt lui aussi en tant que messager se place derrière l'homme et s'avança devant les gardes.

Moi aussi je voudrais parlé à la personne la plus importante içi.

L'Elfe avait un grand papier sous le bras gauche et semblait être plutôt maigre et grand,il était vêtu d'un pantalon bleu et d'un haut verte il avait des cheveux blanc assez long qui cachait son oeil gauche.

Les gardes disposaient aux portes du royaume écoutèrent les paroles des deux voyageurs.
puis l'un d'eux se hâta d'aller prévenir un supérieur pour en répondre à leur requête.
Le garde partit , un autre vint le remplacer pour le tour de garde histoire de ne pas laisser qu'un seul garde à l'entrée.

Quatre soldats arrivèrent en courant, et dégainèrent : deux pointaient Guillaume, et les autres autres pointaient l'elfe.
Encore deux hommes s'approchèrent, et tout les deux fouillèrent respectivement les deux hommes.
Le soldat chargé de la fouille de Guillaume prit la sacoche, et vérifia qu'il n'y est aucune arme, ni aucune doublure dans le sac, il regarde le parchemin, et ensuite il jeta la sacoche à ses pieds.
Il s'accroupit, et commença à tâter ses mollets, et remonta, pour continuer à le fouiller, retirant tout bijoux -s'il en avait- au cou, aux mains et aux doigts, tout objet susceptible de faire de la magie.
Pendant ce temps là, l'autre soldat effectuait la même démarche sur Uràwyn, le désarmant aussi s'il avait une arme.
Puis ils se relevèrent, et firent signe aux soldats de rengainer, et un des deux fouilleurs parla avec une voix claire :

Nous allons vous escorter jusqu'à la cité Tedeis, la capitale de Tarenia, cependant vous ne verrez pas le Roi car vous n'êtes que des étrangers, attendons d'être à la cité pour parler plus tranquillement.
Puis ils firent monter les étrangers chacun sur un cheval protégé par deux soldats qui ouvraient la marche, tant dis que un chevalier la fermait.
Si l'accueil fut peu chaleureuse, c'est que le Royaume était en guerre, et qu'un ennemi avait réussi à tromper la vigilance des gardes du seul port de Tarenia : Dylana.

[HRP : Suite à la cité de Tedeis]