Bataille de la destinée (1003-1004).

Comme je l'ai dit à Isilud, les batailles épiques ne font pas vraiment parti de mon registre, mais j'ai décidé d'essayer d'aider, quand même ^^
Si le texte ne plait pas (moi même, je ne suis pas satisfait), j'espère qu'il aidera, ou même servira de base à un autre texte ^^







-Où vas-tu Linette ?
-Je vais chercher Jean, nous allons jouer ensemble aujourd’hui !
-Ne rentre pas trop tard…
-Promis maman !

Trois ans déjà… L’armée Tarenienne lutte toujours. L’ennemi se montre redoutable. Cette journée semblait pourtant se dérouler comme les autres, en tout cas pour Linette, Jean, et leurs voisins… Les inquiétudes de cette jeune mère étaient-elles fondées ? Après tout, ce petit village près des plaines ne semblait pas être en danger. Mais ce jour là… Ce jour là, Linette ne rentrera pas chez elle.

-Mon Général, les hommes sont prêts, les Cornus ne sont toujours pas visibles…
-Bien, et qu’en est-il des Elfes et des Nains ?
-Ils seront à nos côtés, comme prévu.
-Bien soldat, merci.

Le froissement du tissu de la tente du Général des Armées se fit entendre.

Les soldats, tous en rangs, attendaient les ordres.

-Soldats ! Cette bataille, nous devons la remporter, à n’importe quel prix ! Êtes-vous prêts, soldats ?
-Oui, mon Général ! répondirent les hommes, ensemble.
- Allons-nous gagner ?
-Oui, mon Général !
-La défaite des Cornus est-elle évidente ?
-Oui, mon Général !
-Soldats ! Donnez vos vies pour ces plaines, le destin de notre cher Royaume en dépend !

Les acclamations des jeunes soldats rendaient le Général fier, et un peu plus sûr de lui.
Un grondement soudain mit fin aux festivités matinales.
Un cavalier stoppa sa course devant les rangs :

-Mon Général, les cornus arrivent !
-Allez prévenir les Elfes et les Nains
-Bien, mon Général.

Le cheval reprit sa course vers les rangs Elfiques.

-Soldats, il est temps pour vous de me montrer ce que vous avez dans le ventre ! En avant !

Les troupes firent demi-tour, lanciers et archers en avant, cavaliers en retrait. Les Elfes et les Nains suivirent de près les humains.
Sûrs d’eux, fiers de leur Royaume, les hommes s’avancèrent sur la large plaine.

Ils ralentirent soudainement alors que les Cornus se montraient enfin. Ils étaient nombreux… Très nombreux… Trop nombreux. A pas rapides, déterminés, ils s’avançaient vers les Tareniens. La mort ne leur faisait pas peur. Monstrueux… Ils étaient monstrueux…

Après quelques minutes de marche, les trois Généraux Tareniens élevèrent la voix :

-Soldats ! Vous connaissez les ordres ! Ne craignez pas l’ennemi, tuez, tranchez, n’ayez aucune pitié pour ces monstres ! En avant !

Les lanciers et les archers s’écartèrent, alors que les cavaliers s’élançaient au galop, lames dégainées, bouclier sur le côté. Ils étaient suivis par un grand nombre de flèches.
Les cornus semblaient adopter la même technique. Les cavaliers alliés et ennemis se croisèrent, certains tombaient déjà, les autres continuaient leur course. Les flèches des Cornus s’élevèrent à leur tour. A vue d’œil, elles faisaient en nombre le double des flèches alliées, et recouvraient le ciel, plongeant la plaine dans la pénombre.

Beaucoup d’hommes s’écroulaient déjà, d’un côté comme de l’autre, alors que les cavaliers arrivaient.
Les lanciers tendaient leurs armes en avant, ainsi, chez les Cornus comme chez les Tareniens, la progression de l’ennemi était considérablement ralentie.
Certains cornus, dépassant en nombre les Tareniens, parvinrent à passer outre la barrière de lances, une fois derrière, les fantassins leur réservaient un accueil tout sauf chaleureux…

Le sang coulait en abondance, et malgré les efforts Tareniens, les Cornus semblaient prendre le dessus.
Après cette dure et pénible première journée, les deux camps se replièrent. La nuit était longue, en période de guerre. Et si l’ennemi décidait d’attaquer ? Un raid nocturne ne laisserait aucune chance à l’adversaire… Mais après tout, l’ennemi aussi devait être épuisé. La bataille n’allait pas durer longtemps, enfin, c’est ce qu’espéraient les soldats Tareniens.

Six mois déjà, la bataille faisait rage, le nombre d’alliés avait était réduit de moitié, mais les renforts allaient arriver.

Les cornus, eux, ne semblaient toujours pas fatigués, et se battaient avec autant de vigueur qu’au premier jour. Inhumains... C’est ce qu’ils étaient…
Et pourtant, les Tareniens ne perdaient pas espoir, ils avaient tous en tête les paroles du Général, et ne pensaient qu’à une chose, remporter cette bataille, réduire à néant l’ennemi.

Alors que les hommes se battaient, utilisant encore et toujours la même stratégie, malheureusement au bénéfice de l’adversaire, les renforts arrivèrent enfin. Les hommes fraîchement parvenus, écoutèrent avec attention les ordres des Généraux, avant de se joindre au front.

Leur aide était précieuse, physiquement, certes, mais également moralement. La victoire était encore envisageable.
Avec ces nouveaux soldats, la supériorité numérique adverse avait disparu.
Les Cornus, présents partout dans le Royaume, n’avaient plus possibilité d’envoyer d’autres soldats vers les plaines.

Cinq mois… Toujours pas de victoire.
Au lever du jour, les Généraux ordonnèrent à leurs hommes, avec foi et détermination, d’en terminer avec cette bataille, qui durait depuis trop longtemps. Aussi, ils se joignirent tous les trois au front.
Redoutables, ils tranchaient et tuaient tous leurs adversaires.
L’ennemi prit finalement la même décision, en début d’après midi, quatre Généraux Cornus prirent part au combat.

La journée fut longue, plus longue que les autres, les deux camps avaient décidé d’en finir.
Les hommes, des deux côtés, retrouvaient leur instinct animal, bestial, rien ne pouvait les arrêter.
C’est dans ces moments là, intenses, excitants, pleins en adrénaline, que, si votre père se présente en face de vous, avec l’ennemi, vous n’hésiterez pas, non pas pour vaincre, mais pour survivre, à lui planter votre lame dans le crâne.

Les lames ne s’entrechoquaient plus…
Le dernier Général ennemi regagnait son camp, et, déjà, l’on pouvait distinguer l’adversaire quitter la plaine.

Les cris des alliés retentirent, les bras se levèrent, les lames volèrent. Les Généraux, eux, se contentaient de sourire en se serrant la main.

Mais finalement… Dans une guerre, quel que soit le camp qui puisse se déclarer vainqueur, il n’y a pas de gagnants, il n’y a que des perdants.

J'aime bien pour ma part

Ouais, et c'est cool que la fille elle meurt, j'aime pas les miraculés.

Bah, content que ça vous plaise ^^'

C'est très bien, à part quelques détails, et bouuh les fautes ! :p
Merci beaucoup pour ta précieuse aide =D
Mais je pense que ça, ça va rester sur le forum, parce-qu'on va juste faire un grand résumé des batailles, parce-que personne lit jamais les histoires sur les pages de guilde (qui à déjà lu celle de l'Empire ? )

Si tu vois des fautes, c'est toi qui les fais
Merci pour l'avis

-Signe- a écrit:

Comme je l'ai dit à Isilud, les batailles épiques ne font pas vraiment parti de mon registre, mais j'ai décidé d'essayer d'aider, quand même ^^
Si le texte ne plait pas (moi même, je ne suis pas satisfait), j'espère qu'il aidera, ou même servira de base à un autre texte ^^







-Où vas-tu Linette ?
-Je vais chercher Jean, nous allons jouer ensemble aujourd’hui !
-Ne rentre pas trop tard…
-Promis maman !

Trois ans déjà… L’armée Tarenienne lutte toujours. L’ennemi se montre redoutable. Cette journée semblait pourtant se dérouler comme les autres, en tout cas pour Linette, Jean, et leurs voisins… Les inquiétudes de cette jeune mère étaient telles étaient-elles fondées ? Après tout, ce petit village près des plaines ne semblait pas être en danger. Mais ce jour là… Ce jour là, Linette ne rentrera pas chez elle.

-Mon Général, les hommes sont prêts, les Cornus ne sont toujours pas visibles…
-Bien, est et qu’en est-il des Elfes et des Nains ?
-Ils seront à nos côtés, comme prévu.
-Bien soldat, merci.

Le froissement du tissu de la tente du Général des Armée Armées se fit entendre.

Les soldats, tous en rangs, attendaient les ordres.

-Soldats ! Cette bataille, nous devons la remporter, à n’importe quel prix ! Etes-vous prêts, soldats ?
-Oui, mon Général ! répondirent les hommes, ensemble.
- Allons-nous gagner ?
-Oui, mon Général !
-La défaite des Cornus est-elle évidente ?
-Oui, mon Général !
-Soldats ! Donnez vos vies pour ces plaines, le destin de notre cher Royaume en dépend !

Les acclamations des jeunes soldats rendaient le Général fier, et un peu plus sûr de lui.
Un grondement soudain mit fin aux festivités matinales.
Un cavalier stoppa sa course devant les rangs :

-Mon Général, les cornus arrivent !
-Allez prévenir les Elfes et les Nains
-Bien, mon Général.

Le cheval reprit sa course vers les rangs Elfiques.

-Soldats, il est temps pour vous de me montrer ce que vous avez dans le ventre ! En avant !

Les troupes firent demi-tour, lanciers et archers en avant, cavaliers en retrait. Les Elfes et les Nains suivirent de près les humains.
Sûrs d’eux, fiers de leur Royaume, les hommes s’avancèrent sur la large plaine.

Ils ralentirent soudainement alors que les Cornus se montraient enfin. Ils étaient nombreux… Très nombreux… Trop nombreux. A pas rapides, déterminés, ils s’avançaient vers les Tareniens. La mort ne leur faisait pas peur. Monstrueux… Ils étaient monstrueux…

Après quelques minutes de marche, les trois Généraux Tareniens élevèrent la voix :

-Soldats ! Vous connaissez les ordres ! Ne craignez pas l’ennemi, tuez, tranchez, n’ayez aucune pitié pour ces monstres ! En avant !

Les lanciers et les archers s’écartèrent, alors que les cavaliers s’élançaient au galop, lames dégainées, bouclier sur le côté. Ils étaient suivis par un grand nombre de flèches.
Les cornus semblaient adopter la même technique. Les cavaliers alliés et ennemis se croisèrent, certains tombaient déjà, les autres continuaient leur course. Les flèches des Cornus s’élevèrent à leur tour. A vue d’œil, elles faisaient en nombre le double des flèches alliées, et recouvraient le ciel, plongeant la plaine dans la pénombre.

Beaucoup d’hommes s’écroulaient déjà, d’un côté comme de l’autre, alors que les cavaliers arrivaient.
Les lanciers tendaient leurs armes en avant, ainsi, chez les Cornus comme chez les Tareniens, la progression de l’ennemi était considérablement ralentie.
Certains cornus, dépassant en nombre les Tareniens, parvinrent à passer outre la barrière de lance lances, une fois derrière, les fantassins leur réservaient un accueil tout sauf chaleureux…

Le sang coulait en abondance, et malgré les efforts Tareniens, les Cornus semblaient prendre le dessus.
Après cette dure et pénible première journée, les deux camps se replièrent. La nuit était longue, en période de guerre. Et si l’ennemi décidait d’attaquer ? Un raid nocturne ne laisserait aucune chance à l’adversaire… Mais après tout, l’ennemi aussi devait être épuisé. La bataille n’allait pas durer longtemps, enfin, c’est ce qu’espéraient les soldats Tareniens.

Six moi mois déjà, la bataille faisait rage, le nombre d’alliés avait était réduit de moitié, mais les renforts allaient arriver.

Les cornus, eux, ne semblaient toujours pas fatigués, et se battaient avec autant de vigueur qu’au premier jour. Inhumains... C’est ce qu’ils étaient…
Et pourtant, les Tareniens ne perdaient pas espoir, ils avaient tous en tête les paroles du Général, et ne pensaient qu’à une chose, remporter cette bataille, réduire à néant l’ennemi.

Alors que les hommes se battaient, utilisant encore et toujours la même stratégie, malheureusement au bénéfice de l’adversaire, les renforts arrivèrent enfin. Les hommes fraîchement parvenus, écoutèrent avec attention les ordres des Généraux, avant de se joindre au front.

Leur aide était précieuse, physiquement, certes, mais également moralement. La victoire était encore envisageable.
Avec ces nouveaux soldats, la supériorité numérique adverse avait disparu.
Les Cornus, présents partout dans le Royaume, n’avaient plus possibilité d’envoyer d’autres soldats vers les plaines.

Cinq mois… Toujours pas de victoire.
Au levé lever du jour, les Généraux ordonnèrent à leurs hommes, avec foi et détermination, d’en terminer avec cette bataille, qui durait depuis trop longtemps. Aussi, ils se joignirent tous les trois au front.
Redoutables, ils tranchaient et tuaient tous leurs adversaires.
L’ennemi prit finalement la même décision, en début d’après midi, quatre Généraux Cornus prirent part au combat.

La journée fut longue, plus longue que les autres, les deux camps avaient décidé d’en finir.
Les hommes, des deux côtés, retrouvaient leur instinct animal, bestial, rien ne pouvait les arrêter.
C’est dans ces moments là, intenses, excitants, pleins en adrénaline, que, si votre père se présente en face de vous, avec l’ennemi, vous n’hésiterez pas, non pas pour vaincre, mais pour survivre, à lui planter votre lame dans le crâne.

Les lames ne s’entrechoquaient plus…
Le dernier Général ennemi regagnait son camp, et, déjà, l’on pouvait distinguer l’adversaire quitter la plaine.

Les cris des alliés retentirent, les bras se levèrent, les lames volèrent. Les Généraux, eux, se contentaient de sourire en se serrant la main.

Mais finalement… Dans une guerre, quel que soit le camp qui puisse se déclarer vainqueur, il n’y a pas de gagnants gagnant, il n’y a que des perdants.

Tu dis que c'est elle qui les aurait faites, mais moi pourtant j'en ai vues ^^

A prendre au second degré -.-
Bien sûr que je fais des fautes x')
j'suis l'premier à le dire
par contre, pas d'accord pour la dernière, c'est une citation, et la citation originale comporte un s ^^

Mais c'pas un sujet qui me passionne, du coup je relis pas xD
J'suis plutôt dans le background et ce genre de choses ^^

[edit] Petite relecture effectuée, en effet, je m'étonne, et pas en bien x') j'vais m'y remettre
@Jean : Merci Jean pour les fautes relevées
Post édité, si vous voyez encore des fautes, n'hésitez pas !
@Ury : je viens de me relire, c'est vrai que mon post n'est pas très agréable comme ça O.o désolé, tu ne dois y voir aucune attaque de ma part ^^'
[/edit]

Ouais enfin je suis pas certain j'vais hésité aussi mais logiquement (je dis bien logiquement, mais la logique et la langue française...), s'il n'y a pas de gagnant, ça peut pas être du pluriel ^^

Logiquement oui, je résonne comme ça habituellement, mais je respecte les accords de la citation, et puis on peut se dire qu'il y a deux camps, aucun n'est gagnant, donc il n'y a pas de gagnantS bref, la langue de Molière reste bien compliquée ^^

C'est chouette le français. C'est l'une des langues qui a le plus évolué.

J'arrive paèrs, pas vu le texte d'avant. Donc pas vu les fautes d'avant.
L'est bien l'texte.
Au fait pourquoi t'as choisi Jean au début ?

Ouais mais c'est pas le même Jean...je crois.

Ouai j'pense aussi.
Mais pourquoi avoir choisi ce prénom ?

Le premier prénom que j'ai trouvé, et qui se marie bien, à mon gout, avec l'époque ^^'
Pas trop de rapport avec Notre Jean en effet.

@Dibo : le texte d'avant, Jean l'a cité, si tu veux le voir ^^