Arrivée à la cité.

Le cheval passa les grandes portes , portant sur son dos, Layelis, et un inconnu, se nommant Eras.
L'animal s'arrêta, quand Layelis donna un petit coup dans ses côtes.

Layelis descendit, se redressant, la jarretière en main, disant :

Messire, Bienvenue à Tarenia !

La ville n'était pas gigantesque, mais elle était accueillante, on pouvait voir des habitants, ou des ouvriers marcher dans les ruelles propres, mais quelques nettoyeurs n'avaient pas finis entièrement de nettoyer les pavés de la cité.

On pouvait aperçevoir aussi beaucoup de boutiques, des boutiques d'armes, de magie, des épiceries, et bien encore.
La ville était embellit grâce à des fleurs, qui étaient accrochées au mur de presque chaque bâtiment.

Et tout cela était dominé par le superbe palais de Tarenia, qui se situait sur des terres un peu plus élevée que le royaume tout entier.

Eras observa un instant les boutiques, puis se posa sur le chateau, le palais de Tarenia... Il en resta bouche bée.

-Magnifique...

Layelis sourit, elle se sentait fière de son Royaume.

Elle regarda Eras, émerveillé, et fit :

Vous pouvez aller visiter les boutiques de notre cité, si vous n'avez pas besoin de moi, je vais m'en aller, mettre Faralïa à l'écurie.

Eras la regarda s'eloigner et se promis de la revoir. Il observa encore un instant le Palais et avança dans la cité, emerveillé par tant de splendeur.

-Ce n'est pas cette bonne vieille cité de Trigorn... quel luxe !

Haika, toujours accompagnée du voyageur Christian, passa les portes de la capitale, et s'arrêta sur la place :

Voilà ! Nous y sommes ! Tedeis..ah..Tedeis..Ca faisait longtemps que je n'avais pas admirer les splendeurs de cette ville !

En effet, Tedeis n'avait rien à envier aux autres villes, fleurie de partout, avec une fontaine, et de l'eau qui jaillissait de toute part, les pavés, semblaient neuf, car les Tareniens aimaient la propreté.
Toutes les maisons étaient placées, de sorte à créer un chemin, qui , pouvait-on voir, menait jusqu'au palais, qu'on distinguait à l'arrière plan.

Haika aida le nouveau venu à descendre de son cheval, et fit :
Vous voulez visiter la ville ? Je dois aller signaler mon retour, nous nous retrouverons ici même.
Si vous le souhaitez, vous pouvez rester avec moi, c'est sûr que ce n'est pas évident, de rester seule dans un endroit inconnu.

Je vous remercie Dame, vous pouvez annoncer votre retour sans moi, je resterai ici à vous attendre.
C'est que, je n'ai pas l'habitude de monter à cheval et je me sens pris de fatigue, j'aimerai donc me reposer un peu ici, en profitant du paysage, avant de continuer à visiter cette magnifique cité.

Sur ces mots, Christian lui fit une petite révérence et se retira prés de la fontaine, s'asseyant sur le rebord pour reposer son postérieur et ses jambes endoloris.

Jocelyne le regarda, et sourit :

Entendu !

Elle le salua, et s'en alla en direction du majestueux Palais.

Deux soldats suivis par deux étrangers en cheval, ainsi qu'un chevalier qui les suivait ces étrangers arrivèrent de la forêt.
On entendit quelques cris, et la porte s'ouvrit.
Alors la petite troupe rentra, et les portes se refermèrent lentement.
Les soldats descendirent, et aidèrent les étrangers à descendre.
La ville était quasi vide, tout les habitants étaient rentrer, il y avait tout de même des gens qui vendaient leurs produits frais, tant dis que quelques habitants osaient encore oser sortir de chez eux, et regarder les étalages des marchands.
Il y avait quelques gardes, on voyait des archers aux murailles, puis un autre se mit à dire :

Bien, je vous laisse ici, allez au Palais, pour votre requête, nous devons retourner au port, bon séjour messires !

Merci messire, mais mon cheval quand le retrouverais-je ? Au port ?

Le messager ne put s'empêcher de poser cette question, car il tenait trop a son cheval pour le considérer comme un simple animal.

Le soldat se tourna et fit :

Votre cheval est en sécurité au port, ne vous en faites pas pour ça.

Puis il s'en alla.

Mais un garde qui l'avait remarqué entrer dans la ville et s'approcha de lui :

Bonjour, je peux vous aider ?

Le messager tourna la tête en direction du garde qui venait d'arriver. Décidément on voulait le surveiller.

Oui je désirais remettre un message à votre roi ou à l'un des personne importantes de ce royaume.

L'elfe qui restait muait depuis toute à l'heure se dirigea comme lui avait conseillé Haika de se rendre au Palais,il se mit en route son papier sous le bras et allait arrivé surement dans 1 ou 2 heures au chateau,il semblait plutôt calme et se déplaçait en marchant d'un air optimiste.

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» Amu Devil,l'arrivée et le départ.