Le bureau de l'Officier Supérieur

Alramir, venait d'investir la pièce que lui avait cédé le Général. Après un bref coup d'œil il jugea rapidement que c'était trop petit pour installer un appartement dans la pièce annexe. Il se décida donc à installer le Bureau puis une salle d'archive derrière et ainsi acheter une petite maison dans la ville pour pouvoir s'y installer.
Les premiers meubles étaient sobre : Un bureau et deux armoires (vide pour l'instant). Mais Alramir se doutait bien que le Bureau allait s'emplir peu à peu. La salle d'archive quant a elle était meublé de deux armoires (vide là encore).
Alramir déposa quelque feuille vierge, de l'encre et une plus sur le bureau. Il fixa le tout quelque seconde puis s'assit sur sa chaise prenant quelques notes sur les soldats qu'il avait déjà rencontré. Il eu vite finis et attendis que le travail vienne à lui.

Deux gardes s'avançaient dans le couloir principal de la caserne. L'un portait une quantité considérable de paperasse, l'autre se contentait de tenir la lance de son collègue en plus de la sienne.
Il saluèrent les gardes devant la porte du général.

-J'espère qu'il ne sera pas trop... Tyrannique..

-Je l'espère également, garder la porte d'un officier agréable est toujours...

L'autre le coupa en riant :

-Plus agréable oui !

-Je plains les gardes en fonctions devant la porte du Général...

-Pour sûr ! Supporter ses sauts d'humeur...

Il arrivèrent finalement au bout du couloir.
Le garde aux mains libres toqua à trois reprises.

Alramir se réveilla en sursaut, il venait à peine de s'assoupir. Il fixa la porte

Entrez c'est ouvert.

Les gardes entrèrent dans la salle.
Ils dévisagèrent l'officier un court instant.
L'un prit la parole :

-Bonjour, messire. Nous venons à la demande du général. Il voulait vous faire parvenir ceci...

L'autre garde s'avança et déposa la paperasse sur le bureau.

-Il s'agit de dossiers sur une partie de l'armée tarenienne dont vous vous voyez confier la responsabilité.

-Les premiers dossiers sont consacrés aux soldats susceptibles d'être rencontrés en Vesperea.

-Ah oui, c'est exact. Les autres dossiers portent sur les autres soldats... ceux..

-Qui restent ici !

-Oui, c'est cela.

-Nous en faisons partie d'ailleurs, nous allons garder la.. La porte.

-Bonne lecture, messire.

Les deux gardes quittèrent la salle, et refermèrent la porte devant laquelle ils allaient désormais exercer leur métier.

Alramir, poussa un long soupire, le travail venait plus tôt que prévu. Il passa sa journée a lire les dossiers prenant des notes de temps à autre. Il s'arrêta sur le dossier de Nemésis et le lu attentivement.

L'angelot arriva devant la porte,jetant un coup d'œil au deux garde à l'entré.Il frappa à la porte,attendant une réponse.

Alramir se dirigea vers la porte et ouvrit celle-ci. Il fit signe à Abelarïon d'entrer et se rassit calmement sur sa chaise. Il fixe l'ange.

Bonjour Abelarïon, asseyez vous ça nous permettra de discuter plus facilement.

Alramir fit signe a Abelarïon de s'assoir

L'angelot entra,s'asseyant à la place indiquer après avoir saluer son supérieur.Il observa Alramir un moment,soupirant nerveusement.

-Vous vouliez me voir?

Alramir, croisa ses mains. Et fixa Abelarïon, puis il sortit une feuille vierge de son bureau. Prit sa plume et commença à écrire quelque ligne.

Vous avez réfléchis Abelarïon ? ou dois je vous donner ce congé ?

L'angelot Observa Alramir,il s'attendait à ce qu'il lui parle de sa démission.

-Je n'es toujours pas changer d'avis... j'hésite à vraiment démissionner mais... je reste dans l'idée que c'est le meilleurs choix.

Abelarion détourna le regard,restant silencieux un long moment.

Alramir continuait d'écrire sans regarder l'angelot.

J'accepte votre démission il n'y aucun soucis. Et j'ai même quelque chose à vous proposez. Vous êtes jeunes encore et j'ai donc pensé que si ça vous intéresse je vous apprendrais la magie en échange de quoi vous resterez vivre à Tarenia. Cela vous intéresse-t-il ?

Il releva la tête, s'arrêtant d'écrire et fixa Abelarïon attendant rapidement une réponse.

Galoha , arriva dans le couloir , de retour de 5 jours de capture dans les geôles de Manor , celui-ci vient annoncer son retour pour qu'il sache qu'il peuvent compter un chevalier de plus en effectif de leur armée en prévision de la guerre contre Manor qui a déjà commencé.

Il toqua a la porte , du bureau attendant sous le pallier qu'on lui dises d'entrer.

Les deux gardes croisèrent leur lance devant galoha. Ils le fixèrent et l'un de deux s'exclama :

L'officier Derakan est déjà avec quelqu'un vous devrez attendre ou repasser plus tard.

Abelarion observa Alrami , l'air surprit qu'il accepte sa démission.l'angelot réfléchie à la proposition qu'il venait de lui faire,Si il restait à Tarenia il apprendrait la magie...

- j'accepte de rester...mais je refuses d'être à nouveau mêler aux combats..

Galoha regarda les gardes lui barrer la route , puis répondit :

- Très bien alors , je repasserais plus tard.

et il s'en alla.

Alramir fixa l'angelot, puis lui tendit un papier celui-la même qu'il avait écris le long de la discussion.

Vous ne serez pas mêlez aux combats sauf dans des cas extrêmes. Par contre accepter d'apprendre la magie avec moi c'est ce soumettre à des règles assez strictes soyez en conscient néanmoins vos cours seront assez libre et seront au début théorique puis la pratique dehors. Maintenant apportez cet feuille au général à lui donner la décision finale.

Alramir lui tendit une feuille qui donnait ceci :
"Moi, Officier Alramir Derakan accepte la démission d'Abelarïon du fait de son extrême jeune âge (14ans) et de son dégoût du combat. En effet je pense qu'il est inutile de garder de jeune pacifiste dans l'armée.
Néanmoins il reste Tarenia car je le prends sous mon aile pour lui apprendre la magie.
A vous général de prendre la décision finale concernant son départ de l'armée.
Signé :
Alramir Derakan"

L'angelot prit le papier qu'on lui tendait,remerciant Alramir.Il se leva,s'approchant de la porte pour ensuite sortir après avoir salué son supérieur.

Alramir entra rapidement dans son bureau, demandant à l'un des gardes qui le surveillait d'entrer. Il était visiblement agiter et presser.

Convoquez moi immédiatement le soldat Rekkar, c'est urgent. Si il ne vient pas amenez le ici de force, on est bien claire ?

Le soldat hocha la tête et partit en courant à la recherche de Rekkar

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