La prison Tarenienne

Des soldats, sous l'ordre d'Ury elle-même, arrivèrent, et jetèrent négligemment Némésis dans la cellule en disant :

Une semaine de prison, et une matinée d'échafaud, plus deux mois sans salaires.

Sans rien dire d'autre, il partit, dans un autre coin des geôles, et s'assit sur un tabouret.

A l'arrivé au sol, il s'en fallut de peu pour que Nemésis perde son calme. Pour qui se prennait les gradés ? Il était encore un soldat, on le traitait deja comme une bête, et bien que le rapprochement lui deplaisait beaucoup moins qu'a tout autres personne, il haissait ces manieres...Il se leva et s'installa sur le lit, simplement, le fait d'avoir prit une semaine de prison ne semblait pas vraiment l'affecter, le fait d'avoir perdu deux mois de salaires non plus, il gardait son petit air arrogant qui lui collait si bien au teint.

-Une matinée d'échafaud ? Je croyais que ca servait a tuer les gens...

Qu'on le reprimande ne lui deplaisait pas vraiment, qu'on le rabaisse, il ne le supportait pas...Plus elle s'amuserait a le rabaisser moins elle arrangerait les choses. C'était ainsi de toute façon...Ces idiots ne comprendrait jamais qu'en rabaissant les gens on ne fait qu'accentuer les tensions...
Et l'hypocrisie le degoutait au plus haut point...

Georgenry s'approcha de la grille derrière laquelle se trouvait Skreir. Bien qu'une livraison de whisky lui aie été faite, le mage était à nouveau à sec et de se fait il marmonnait mille injures -voire des incantations antédilluviennes visant à invoquer un terrible monstre issu des abysses infernales qui dévorerait le garde ainsi que la grille-.

Mais revenons en au soldat qui avait eu des parents à court d'idées de noms. Il s'adressa au magicien.

Georgenry: Hep, m'sieur!

Skreir: M'ouais? ... Enfin mon whisky?

Georgenry: Non, non. J'suis le soldat Georgenry et..

Un éclat de rire coupa court à la conversation. Un effet de cette carence en alcool qu'est la sobriété? Un manque de divertissement pour le prisonnier? Ou peut-être que Georgenry avait vraiment un nom à la con. Toujours est-il que Skreir lui éclata de rire au visage.

Skreir (Qui tente de calmer ses éclats de rire): Haha! Georgenry... HAHAHA! Sérieusement, je vous plains, Soldat! Faut vraiment être à court d'idées pour croiser deux prénoms déjà pas vraiment reluisants... HÉHÉHÉ! GEORGENRY!

Georgenry (légèrement vexé): M'voyez, à Sarosa on m'a appris la MMDCPÉQFL. La Méthode de Marcel Dubois Contre les Prisonniers Énervants Qu'il Faut Libérer. J'devais justement vous libérer mais... Marcel prit son trousseau de clés, puis en décrocha celle de la cellule de Skreir avant de la lancer par la fenêtre. ... j'ai perdu ma clé. Je vais donc remplir le formulaire AKR-3, pour la perte de clés en fonction. À dans une semaine.

Skreir: Hé! Mais naan! C'était une blague! *Gromellant* Non mais! Ses vieux n'avaient qu'a utiliser le Grand Index de Genhé-Rateur DeNoms...

Skreir réfléchit un instant (... Oui, ca lui arrive quand il est trop sobre) puis hurla a pleins poumons en direction du garde qui s'éloignait.

Skreir: Hé! Vous! Je peux au moins tenter de forcer la serrure? C'est VOUS qui avez pas la clé, quand même!

Georgenry: Bah, pourquoi pas? D'toute facon, ces trucs la, c'est solide. C'est pas un alcoolique grisonnant qui va en briser un.

Qu'il croyait. Dix minutes, une incantation et une porte en moins plus tard, Skreir allait chez lui, ou s'entassaient les bouteilles pleines. La Tonnelière n'était pas sous le commandement direct d'Ury. Au moins une bonne nouvelle.

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-Nettoyage de porte à demi fondue dans la prison! Je répète! Nettoyage de porte à demi fondue dans la prison!

(Bon, j'me suis essayé à un style et je doute que ce soie réussi, mais j'en ai marre d'pas pouvoir prendre mon Skreir Razz

)

HRP / C'était marrant et j'ai adoré le dedicasse à Marcel Dubois enfin t'aurais pu inventer un truc avec Ke Dal x)

Share arriva avec un blesser les épaules. Nous ne connaissons rien de cette homme sauf qu'il est soupçonner avoir fait un complot pour attaquer un soldat Tarenien. Share déposa l'individu sur le lit troué d'une des cellule, puis reparti chercher un infirmier pour le soigner. L'individu n'a plus d'arme car il s'est fait désarmer lors du combat.

Toujours accompagné du shaamah, Jean déposa l'homme dans une cellule.
Avec tout l'alcool qu'il lui avait fait boire après lui avoir mis un coup de poing métallique dans la tête, il n'était pas prêt de se réveiller.

Vous le gardez le temps que je revienne, dit Jean, si dans 3 jours je suis pas là, libérez-le.

Maintenant, il devait aller voir Sayrath pour décider de la peine.

EDIT :

Jean revenait du bureau du Général, il s'approcha de la cellule de l'encapé.

Bon, je vais t'expliquer un truc, le Général sait même pas que tu es là, à part le geôlier et moi, personne n'a entendu parler de toi ici, donc tant que tu n'auras pas répondu aux questions, tu ne sortiras pas compris ?

D'abord, quel est ton nom ?

[HRP : Si quelqu'un voit Sorax ou un de ses persos, ce serait bien de le faire venir sur le forum...]

EDIT :

[HRP : J'ai vraiment pas envie de poster l'interrogatoire donc je vais poster que ce qui en a découlé, et si vous avez des questions ou autres sur un point je rajouterai]

D'après Sorax, il était chef d'une Organisation anti-royaliste, Jean voulait connaître des noms, et il en obtint, Sorax s'était-il rendu compte du piège ? Jean ne le savait pas, mais ça avait marché.
Il allait maintenant falloir trouver les dénommés Ankou, Shana et Kop.

[HRP : C'est pour savoir quand Sorax pourra sortir, car sa fait trois jour et Jean t'avait dit que j'en avait pour trois jours. Donc j'aimerai savoir si je peux RP avec se perso. Merci]

[HRP : Ah oui tu peux sortir c'est bon, on a eu des informations et ton perso a pas fait couler le sang donc on va pas te garder pendant cinquant ans]

Deux soldats arrivèrent, avec un soldat Tarenien, et le jetèrent dans une geôle.

L'un deux rédigeait le rapport, et l'autre fit :

Alors, c'est quoi cet espèce de talisman qu'on a retrouvé sous votre lit, et pourquoi tout ce bazar dans votre maison ? Vous avez changé, et je veux savoir les causes, et même les conséquences !

Signe se leva lentement, tête baissée.

- Ce n'est pas un talisman.. Un simple objet sans valeur qui appartenait à mon père, aussi, je vous demande de me le rendre.

Il était calme et parlait doucement, le regard toujours accroché au sol

-Ma maison.. Ça me regarde, j'y fais ce que je veux après tout, non..? Et je ne sais pas de quel changement vous parlez.

Il tournait maintenant le dos aux gardes, et fixait le mur du fond.

Le garde répliqua :

Certes, vous faites ce que vous y voulez, mais lorsque vous faites trop de bruit, ce qui alerte vos voisins, ainsi que les passants, et que nous retrouvons la maison, dans un état pitoyable, ça nous regarde aussi.

Ensuite..ce n'était pas dans votre habitude d'insulter des femmes même, et de tenter d'agresser des soldats.

Il s'arrêta, regardant son collègue finir le rapport, et finit aussi :

L'objet de votre père..Nous allons le garder.

Le soldat allait bien sûr lui rendre, mais voulait juste voir sa réaction.

Les épaules de Signe, qui tournait toujours le dos aux gardes, remuaient.
Il renifla avant de se retourner.
L'air soudainement plus calme, une larme sur la joue, il lança :

-Soit, gardez le.. Vous n'en tirerez pas grand chose..

Il passa le revers de sa main sur sa joue avant de reprendre

-Je n'ai pas changé, je me suis juste un peu... Emporté. Aussi, je vous demande d'accepter mes excuses.

Il esquissa un léger sourire.

-En ce qui concerne ma maison.. Sûrement me suis-je un peu emporté, encore une fois.

Signe haussa les épaules avant de s'asseoir dans un coin de la cellule.

Le garde ne se laissa même pas impressionner par la comédie du soldat, et le fixa :

Vous vous êtes emporté ?

Il se mit à rire, et fit :

Vous auriez sorti la même chose, si vous aviez agressé, ou même tué un de nous deux ?
Et la maison.."un peu emporté", quand ma femme s'emporte, elle casse un vase, et encore, là, c'est tout les meubles, ainsi que les murs, qui y sont passés, alors laissez-moi douter.
Vous sortirez demain matin, et c'est tout.

Il s'en alla avec son collègue, en le laissant seul à méditer dans sa cellule.

Il leva un instant la tête.

-Si j'avais tué l'un de vous, je n'aurais rien dit.. l'autre y serait passé aussi...

Il ferma finalement les yeux.

Jean traina Charade dans la geôle, cela le déplaisait de le traiter ainsi mais c'était un ennemi. Pour le réveiller, il le frappa sur le ventre.

- Alors ? Ca va mieux ?

Charade ce rèveilla lentement inspecta les lieux puis fixa Jean
Sa peut...pas aller pire

La remarque fit sourire Jean

Bon tu sais pourquoi t'es là... Alors, je connais ton nom... Qu'est-ce que je pourrais demander ? Tiens ! Pourquoi ton chef veut me tuer à ce point ? Pourquoi t'es avec ce type de qui je t'ai sauvé dans le passé ? Quels sont vos buts ? Tout quoi...

Premiérement...mon chef comme tu dis il veut te tuer pasque tu est Tarenien...Ensuite je suis avec lui pourquoi parce-que sa ne regarde que moi....Nos buts actuellement aucune idée...

Jean était certain qu'il tenait Charade, il venait de faire une très grosse erreur !

- Donc, tu sais qu'il m'en veut car je suis de Tarenia, et pourtant tu n'as aucune idée de vos buts ? Pitoyable Charade... tu nous fournis en plus la preuve que tu es de Manor, ton chef aussi, l'espèce de crapaud bizarre, ton copain qui lançait sa dague et le type encapé car vous êtiez avec le chef. Merci de cette dénonciation de masse ! Sans oublier le type louche qui a risqué sa vie pour protéger votre chef ! Si tu ne savais pas, nous n'étions pas sûrs officiellement que votre organisation était Manor car vous ne m'attaquiez peut-être pas par mon pays, mais maintenant, nous en sommes sûr. Je veux les noms, les armes, les aptitudes, et même le couturier s'il le faut de chacun ! Et si tu ne veux pas je reprends ta bourse...

Charade le fixa d'un air indéfférent
...Tu me menace de prendre ma boursse...?...Que j'ai peur...je suis térrifier...

Jean soupira et sortit sa grosse bourse de son chapeau

- Tu vois cette bourse qui fut la tienne quelques jours ? Je te la donne si tu réponds sagement à toutes mes questions d'accord ? Et si j'apprends que quoi que ce soit que tu m'as dit est faux, je te retrouve et je te la fais bouffer avec de la terre d'accord ?

Charade fixa Jean
...Hmm...D'accord.....Pour tout te dire les noms j'en connait pas des masses...les armes non plus...les aptitudes encore moin...et le couturier aucune idée..

Signe entra dans la prison, et s'approcha de la cellule de Charade.

-Jean, n'oublie pas de venir à mon bureau quand tu en auras finit avec lui...

Il tourna les talons, et s'en alla aussi rapidement qu'il était venu.

Charade observa Signe arrivé et repartire tout de suite après

Jean se demandait ce que lui voulait Signs, mais il tenait à d'abord en finir avec Charade.

- Shaamah minable... J'espère que tes potes seront content que tu les aies donnés...

Et il partit vers le bureau du Général.

[HRP : T'es pas libre tout de suite, déjà parce que je viens de t'avoir ^^ Et puis parce que j'attends de voir ce que Signe dira]