Le bureau du Général.

(Rien ne le contredit, on ne fait qu'achever le rp la ou il avait commencé. Tu n'a jamais écrit que tu partais Wink

)

[Pas faux]

Xillion laissa la lettre et s'en alla. Il fit mine de partir chercher Utau, mais en réalité il allait en direction de la ville portuaire. Il était temps de quitter Tarenia.

(Tu fous un second perso ou je te tue :/)

Identité du personnage Prenom: Rima Race: Humaine Groupe:

Rima fonça dans le bureau du général.Elle prit Tyrlo dans ses bras et se mit a pleurer à chaudes larmes en marmonnant :

-M..Mama..Maman..e..elle est...

La petite serra Tyrlo dans ses bras.Cette fois,elle était vraiment orpheline.Utau était morte,Flau aussi..

Amu arriva,deux gardes la tenant.La petite n'avait pas l'air bien,elle pleurait toujours.Amu fit signe aux gardes de la lâcher.Conscients qu'elle ne pouvait pas s'échapper,ils obtempérèrent.L'enfant avança alors vers le général.Elle contourna le bureau et alla se plonger dans ses bras tout en pleurant.

-S..Say !..J..Je..Pourquoi je fais ça..Say..J..Je suis..d..désolée..Say..

Tyrlo regarda Rima puis Amu, lui avait été jeté dehors par ses vrai parent et maintenant on lui disais qu'il été orphelin mais en plus de ses parent adoptif, Tyrlo été furieux contre Amu et il demanda a Rima si elle pouvait le lâcher pour qu'il puisse partir dans la forêt.

Profitant de la pagaille générale, Signe pénétra dans le bureau, en lançant un grand sourire à la grande Amu, qui pleurait (:p).

-Vous désiriez me parler, mon Général ?

Il riait en observant l'agitation du lieu maintenant transformé en garderie...

Jean voulu toquer à la porte, mais entendant un bruit phénoménal, il décida d'entrer sans frapper.

' Ah nan mais je vais pas passer après tout ces gens ! '

GENERAL SAYRATH !! J'AI BESOIN DE PARLER A PROPOS D'UN PRISONNIER !, cria-t'il.

' Bon, en espèrant pas trop me faire engueuler pour avoir crié comme un fou... '

Amu tourna la tête vers Signe.Elle s'approcha..Puis attrapa Signe dans ses bras et le serra affectueusement

Tyrlo regarda Amu avec un regard noir. Il été tellement chagriné qu'il sortie du bureau en courant et partie en direction de la forêt, là où il pourrait se trouver seul, tranquille loin de tout

Après avoir crié, Jean se disait que vu le cirque, il allait encore se faire disputer dessus la foulée, il décida alors de s'en aller, après tout avec tout le bruit, le Général ne l'avait peut-être pas entendu.

Malgré l'agitation, un soldat frappa à la porte et entra voyant qu'elle était ouverte. Il se fraya un passage parmi les personnes présentes et se plaça devant son général.

-Excusez-moi de vous déranger mon général. Mais j'ai un message du soldat De Nuln à vous donner.

Il posa la lettre cachetée sur le bureau et se recula. Il y avait apparemment un objet coincé dedans vu la surélévation qu'elle présentait.

-Désolé de mon intrusion, je ne vous dérangerai pas plus longtemps.

Il s'inclina puis se retira.

[HRP: J'ai le droit de jouer un soldat au moins ? Et j’ai le droit de passer devant tout le monde ? Enfin j'espère que oui. Saysay', je t'envoie la lettre par MP si ça te dérange pas.]

Aodren entra dans le bureau en courant, mais en courant sur un seul un pied du à sa blessure. Une fois dans le bureau il s'étala sur le bureau n'ayant pas réussit à s'arrêter, et il eu juste le temps de crier.

-Vous avez un problème !

Il se redressa en se frottant la tête. Il remarqua au même moment qu'il n'avait pas réussit à trouver le bureau avant l'incident, c'est motivé par la peur qu'il avait pu trouver son chemin.

-Excusez mon intrusion. D'autant plus que vous ne me connaissez même pas.

Il laissa échapper un léger rire gêné avant de continuer.

-J'ai trouvé il y a peu deux personnes qui apparemment appertiser à Tarenia, ils avaient été torturés et je les ai emmené dans votre infirmerie. Et j'ai été témoin de la capture d'un autre de vos soldats. Je pense que qu'un groupe vous en veux. Il y a des chances que vous soyez déjà au courant, mais je préfère quand même vous prévenir. Et ça me rassure au passage...

Il resta planté devant le général de Tarenia, ne sachant pas quoi faire. Comment avait-il fait pour arriver jusqu'ici déjà ?

-Tyrlo... Amu...

Le général était encore sous le choc des évènements. C'est fou certes mais quand un homme public est rattrapé par sa vie privée, il réagit moins bien que tout autre individu. Et cela venait de se produire. Pourtant quand Tuur lui apprit la nouvelle de l'agression il dut se reprendre. Réprimer ses sentiments. Puis se lever et partir en courrant, criant au passage quelque mots.

-Messire, suivez moi! Gardes, faites venir Jean Talcmecz. Cet idiot de Diboan a déserté au mauvais moment!

Un garde entra au même moment, et prit la parole :

Mon général, c'est important, il faut que je vous parle.

(J'suis déja parti m'bon...)

-Oui?

(:s)

Le garde fit un salut militaire, et s'expliqua :

Des passants et voisins nous avaient appelé , car ils entendait du vacarme, nous y sommes donc allés à trois, et nous avons trouvé un homme , qui d'après mes recherches, se nommeraient Signs.

Il transpirait, et semblait agacé,oui ,agacé c'est bien le mot.
J'ai envoyé les deux hommes retrouver ce "Signs", tant dis que j'ai fouillé la maison, d'après le soldat , il y aurait eu un cambrioleur, mais l'arme du soldat coïncide tout à fait avec les marques sur les murs.
Ensuite, j'ai continué à fouillé, et j'ai trouvé ça..je sais pas trop ce que c'est...

Il posa sur le bureau de son général un artefact, et attendit la réaction de son supérieur.

-C'est curieux... j'en parlerais a Signe. Merci de m'avoir averti, vous recevrez une prime. Mais maintenant, vous pouvez disposer.

[HRP]Petite précision, l'artefact en question est le phylactère de son père (objet qui contient la force vitale d'une liche). Il a été percé par une dague.[/HRP]

Le jeune homme s'approcha de la porte. Il n'avait pas particulièrement envie de toquer, ni de demander aux gardes si le Général était là. Non, il se contenta seulement de laisser tomber une lettre sur le sol, écrite par un certain Diboan se disant en danger de mort, et la poussa du pied sous la porte. Le fait de déposer cette lettre le faisait rire, il riait même de bon cœur.

Après avoir lancé un regard complice aux gardes, il s'éloigna en sifflant...

[Vas-y l'autre comment il livre la lettre.
Enfin bon, Saysay' je t'envoie la lettre dés que tu l'as ouverte.]

Bien qu'il n'était pas encore tout a fait remit, Nemésis avait insister pour sortir de l'infirmerie. Il n'aimait pas être enfermé dans une ville. Une fois levé de son lit il s'avança vers le bureau de son superieur, marchant a l'aide d'une bequille. Il frappa à la porte et attendit.

-Entrez, entrez.

Sayrath commanda a l'un des gardes d'ouvrir la porte, ce qu'il fit. Le général resta concentré sur sa paperasse, visiblement plus importante qu'a l'habitude.

-Alors, que me vaut l'honneur de votre visite?

Nemésis salua rapidement Sayrath et s'avança, il mit une main dans sa poche et en sortit le petit papier puis le posa sur le bureau.

-Je me suis reveilé en forêt, bléssé de toute part avec ca sur moi. Ha ce qui semble, j'ai subbit une scéance de torture dont je ne me souvien pas. Je ne peux dire ni qui l'a fait ni combien de temps il l'a fait et encore moins si j'ai put reveler quelque chose et si oui, quoi.

C'était rare qu'il prenne des initiatives comme celle la, mais il n'avait qu'une envie, savoir qui et s'en venger.

Signe entra dans la salle qui lui était familière... Sans frapper à la porte cette fois.
Il contourna le bureau, jeta un œil aux divers papiers, avant de s'installer sur la chaise du général.

Le jeune homme avait, à peine arrivé, quelques papiers à remplir, aussi, pour montrer que son nouveau grade lui tenait à cœur, il se mit immédiatement au travail.

Les nouvelles allaient vite, Jean qui trainait souvent dans les parages avait entendu parler d'un changement de général. Il n'en croyait pas un mot, et voulait informer le général Sayrath que des plaisantins se mettaient à raconter n'importe quoi. De plus, il avait parié qu'il était capable de ressortir avec un papier du général comme quoi il était bien le général. Cela allait faire taire les crétins, bien fait.

Il ne toqua pas à la porte, plus par habitude de se forcer à être malpoli que par pure prétention.

- Hep Say ! Comment ça... !? Si Say te voit assis sur son bureau il va te tuer...

C'est en disant cela que Jean réfléchit, et si... les plaisantins disaient vrai ? Il allait perdre son pari !! C'était inadmissible ! Il aurait son papier ! Fut-il le falsifier !

- Waw...

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